Né à Padoue en Italie en 1707 – Il est l’un des plus éminents cabalistes du XVIIIème siècle.
Très jeune, il côtoie les Sages de son époque, apprend le latin, la poésie et les belles lettres. A 14 ans, il connaît toute la Kabbale d’Itshak LOURIA.
A 17 ans, il écrit un traité sur les règles régissant les langues et de l’hébreu en particulier, intitulé Lachon limoudim.(1724)
Sefer ha-igayon (Livre de logique) écrit en 1742 durant son séjour en Hollande.
Sod hachem Lireav (le secret de YHVH est pour ceux qui le craignent) et Binyam Olam (L’Edifice du monde) qui sont des essais d’une physique cabaliste.
Il est également l’auteur de pièces de théâtre.
Grand Cabaliste, il ne fut pas reconnu par le rabinat de son époque ; calomnié, déstabilisé, fatigué, il quitte l’Italie en 1735 et part vers la Hollande en passant par l’Allemagne.
En 1743, il réalise son rêve, aller en Israël. Avec sa famille, il se retrouve près de Tibériade et de Safed. En 1746, une épidémie de peste frappe la région, Luzzatto atteint par cette maladie décèdera à St Jean d’Acre, cette même année, sa famille également sera décimée par ce mal. On dit que son tombeau est au côté de celui de Rabbi Aquiba.
Il est l’auteur de Hoquer ou Mequoubal – "le Philosophe et le Cabaliste", où il répond aux détracteurs de la Kabbale que sont les philosophes et les théologiens, en exposant les fondements de la doctrine de son Maître Isthak LOURIA.
Son œuvre essentielle : Layescharim Tehilla (Gloire aux Justes) parue en 1743, c’est une réflexion d’une philosophie profonde et d’un sens moral élevé.
Il a publié également en 1740 – Le Sentier de rectitude – qui est un enseignement sur le chemin pour rencontrer le Principe des Principes.
Les références sont puisées dans la Torah, le Talmud et la Kabbale. Il insiste sur l’étude de l’âme persévérante pour aller vers la perfection.
Pour conclure, alors qu’il était critiqué, rejeté par une partie de la communauté juive…
Très jeune, il côtoie les Sages de son époque, apprend le latin, la poésie et les belles lettres. A 14 ans, il connaît toute la Kabbale d’Itshak LOURIA.
A 17 ans, il écrit un traité sur les règles régissant les langues et de l’hébreu en particulier, intitulé Lachon limoudim.(1724)
Sefer ha-igayon (Livre de logique) écrit en 1742 durant son séjour en Hollande.
Sod hachem Lireav (le secret de YHVH est pour ceux qui le craignent) et Binyam Olam (L’Edifice du monde) qui sont des essais d’une physique cabaliste.
Il est également l’auteur de pièces de théâtre.
Grand Cabaliste, il ne fut pas reconnu par le rabinat de son époque ; calomnié, déstabilisé, fatigué, il quitte l’Italie en 1735 et part vers la Hollande en passant par l’Allemagne.
En 1743, il réalise son rêve, aller en Israël. Avec sa famille, il se retrouve près de Tibériade et de Safed. En 1746, une épidémie de peste frappe la région, Luzzatto atteint par cette maladie décèdera à St Jean d’Acre, cette même année, sa famille également sera décimée par ce mal. On dit que son tombeau est au côté de celui de Rabbi Aquiba.
Il est l’auteur de Hoquer ou Mequoubal – "le Philosophe et le Cabaliste", où il répond aux détracteurs de la Kabbale que sont les philosophes et les théologiens, en exposant les fondements de la doctrine de son Maître Isthak LOURIA.
Son œuvre essentielle : Layescharim Tehilla (Gloire aux Justes) parue en 1743, c’est une réflexion d’une philosophie profonde et d’un sens moral élevé.
Il a publié également en 1740 – Le Sentier de rectitude – qui est un enseignement sur le chemin pour rencontrer le Principe des Principes.
Les références sont puisées dans la Torah, le Talmud et la Kabbale. Il insiste sur l’étude de l’âme persévérante pour aller vers la perfection.
Pour conclure, alors qu’il était critiqué, rejeté par une partie de la communauté juive…
Rabbi Isaïe Bassan qui lui ouvrit sa bibliothèque écrivit aux rabbins de Venise afin d’exprimer sa défense vis à vis de Luzzatto.
Passages de cette lettre :
Passages de cette lettre :
" Dieu lui accorda le don de l’écoute et de la compréhension…je lui ai enseigné tout ce que je savais……Ainsi, un jour, il traversa le fleuve de la Kabbale et goûta à l’Arbre de vie. Alors son esprit parcourut la vallée des secrets ".
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