Un nom blasonné par un trône
Elle est la plus connue des déesses Egyptiennes, et pourtant, on ignore presque tout de ses origines, prenant racine dans le culte préhistorique de la Grande Mère Universelle.
Elle est la plus connue des déesses Egyptiennes, et pourtant, on ignore presque tout de ses origines, prenant racine dans le culte préhistorique de la Grande Mère Universelle.
Isis "rose et noire", celle qui cherche inlassablement les morceaux d’Ousir, mère d’Horus, cause de la matérialisation de l’esprit, recueille et élève Anubis. Elle est la magicienne incarnant toutes les déesses. Exotérique, populaire à travers son aspect maternel, elle est ésotérique, initiatrice, mère de l’existence provoquant le jaillissement de la vie.
Le nom que nous traduisons par Isis à la suite des grecs, s’inscrit avec le Hiéroglyphe du trône qui peut aussi se lire "demeure". Les Egyptiens disaient Aset, déesse trône : gloire, justice, puissance, le siège du divin créateur, l’unité trine, la partie la plus secrète de la nature. Elle est matrice primitive cachant en son sein la puissance de tous les soleils de l’univers, la Vierge Mère des Métaux.
"Nous savons quant à nous, que la déesse Isis est la mère de toutes choses, qu’elle les porte toutes dans son sein, et qu’elle seule est la dispensatrice de la révélation de l’initiation"
Nous dit Fulcanelli, dans le Mystère des Cathédrales
L’hirondelle,un des symboles d'Aset se traduit en écriture Hiéroglyphique par la bouche et le demi-cercle qui se lisent Ouret : la grande.
On n’oubliera pas l’épisode du mythe où Isis prend la forme d’une Hirondelle, pour voler au-dessus de la mer philosophale à la recherche du corps Osirien. L’hirondelle est en outre, un oiseau migrateur, emblème du Pèlerin Isiaque engagé sur la voie Humide.
On rencontre également Aset dans drapeau du Ntr accompagné du vautour : Ntr Mout : la Mère Divine. On note que vautour et cobra se retrouvent en miroir sur la coiffure de la déesse. Ils signifient alors Reine.
*Le Principe Divin Aset et la royale Grande Mère Divine.
Isis Sothis telle qu’on peut la rencontrer dans de nombreux zodiaques. Elle est toutefois attestée dès les Textes des Pyramides. Comme toutes les étoiles, elle navigue dans une barque céleste. Le coté aérien et lumineux est donné par les plumes de sa coiffure. Le Ren Aset est défini par le Hiéroglyphe de l’étoile : la pulsation de la vie stellaire. Sopedet-Sothis-Sirius. C’est l’aspect efficient d’Isis, reine du ciel, mais d’un ciel antérieur, si lointain qu’il reste invisible aux hommes. Les alchimistes d’Alexandrie le nomment" Terre Syriadique", celle qui aurait ensemencé l’Egypte par la vertu du célèbre météorite de Dendera.
Cette image serait donc celle du principe féminin Originel qui apporta la vie sur cette planète
*Isis Mère Divinité du Ren.
Dans cette image de la déesse trône magnétisant un Shen.
Ce signe à la dynamique évidente prototype du cartouche contient tous les noms de la création soumis à l’influence magique d’Isis et sous sa protection. Lors des rites initiatiques, c’est elle, en digne fille de Thot qui donne son Ren Secret au myste ; Ainsi renommé, il devient son enfant et son destin le conduit alors vers la terre Syriadique, le jardin de l’age d’or, dans le ventre lumineux des étoiles.
*Isis Myrionyme
Ce terme apparaît tardivement dans la littérature Isiaque avec des auteurs comme Olympiodore ou Plutarque.
"Moi Ptolémaios, épistratège de la Thébaïde, je suis venu et j’ai adoré la très grande déesse Isis"
An 11 de César
"Moi Théomnestos, stratège de Philae, je suis venu et j’ai adoré Isis aux dix mille noms ainsi que tous les Dieux qui sont dans l’Abaton"
An 5 de l’Empereur César Domitien Auguste
Le révérend père Kircher Athanase illustra le texte de Plutarque. Il nous montre une Isis couronnée de blé, portant un sistre, la situle et une robe nocturne frappée d’étoiles et de croissants lunaire.
Géante magnétique, elle marche à la surface de la terre auréolée par la multitude magique de ses noms.
*EGO SUM ISIS….
Dans le Temple d’Isis à Dendera on peut lire:
"Elle est Nekhbet à Hiérapolis, Tjenet à Hermontis, Iounit à Dendera, Isis à Abydos, Heket à Antinoë, Neith à Saïs…………
Maîtresse dans chaque Nome, c’est elle qui est dans toutes les cités, dans tous Nomes avec son fils Horus"
Un texte sans équivoque, toute l’Egypte est le royaume d’Isis
Ses multiples noms sont semés à travers le double royaume comme les membres dispersés d’Osiris. Ils encensent cette terre sainte de leur vibration subtile, la protègent, en font le lieu d’une éternelle Théophanie.
Le nom que nous traduisons par Isis à la suite des grecs, s’inscrit avec le Hiéroglyphe du trône qui peut aussi se lire "demeure". Les Egyptiens disaient Aset, déesse trône : gloire, justice, puissance, le siège du divin créateur, l’unité trine, la partie la plus secrète de la nature. Elle est matrice primitive cachant en son sein la puissance de tous les soleils de l’univers, la Vierge Mère des Métaux.
"Nous savons quant à nous, que la déesse Isis est la mère de toutes choses, qu’elle les porte toutes dans son sein, et qu’elle seule est la dispensatrice de la révélation de l’initiation"
Nous dit Fulcanelli, dans le Mystère des Cathédrales
L’hirondelle,un des symboles d'Aset se traduit en écriture Hiéroglyphique par la bouche et le demi-cercle qui se lisent Ouret : la grande.
On n’oubliera pas l’épisode du mythe où Isis prend la forme d’une Hirondelle, pour voler au-dessus de la mer philosophale à la recherche du corps Osirien. L’hirondelle est en outre, un oiseau migrateur, emblème du Pèlerin Isiaque engagé sur la voie Humide.
On rencontre également Aset dans drapeau du Ntr accompagné du vautour : Ntr Mout : la Mère Divine. On note que vautour et cobra se retrouvent en miroir sur la coiffure de la déesse. Ils signifient alors Reine.
*Le Principe Divin Aset et la royale Grande Mère Divine.
Isis Sothis telle qu’on peut la rencontrer dans de nombreux zodiaques. Elle est toutefois attestée dès les Textes des Pyramides. Comme toutes les étoiles, elle navigue dans une barque céleste. Le coté aérien et lumineux est donné par les plumes de sa coiffure. Le Ren Aset est défini par le Hiéroglyphe de l’étoile : la pulsation de la vie stellaire. Sopedet-Sothis-Sirius. C’est l’aspect efficient d’Isis, reine du ciel, mais d’un ciel antérieur, si lointain qu’il reste invisible aux hommes. Les alchimistes d’Alexandrie le nomment" Terre Syriadique", celle qui aurait ensemencé l’Egypte par la vertu du célèbre météorite de Dendera.
Cette image serait donc celle du principe féminin Originel qui apporta la vie sur cette planète
*Isis Mère Divinité du Ren.
Dans cette image de la déesse trône magnétisant un Shen.
Ce signe à la dynamique évidente prototype du cartouche contient tous les noms de la création soumis à l’influence magique d’Isis et sous sa protection. Lors des rites initiatiques, c’est elle, en digne fille de Thot qui donne son Ren Secret au myste ; Ainsi renommé, il devient son enfant et son destin le conduit alors vers la terre Syriadique, le jardin de l’age d’or, dans le ventre lumineux des étoiles.
*Isis Myrionyme
Ce terme apparaît tardivement dans la littérature Isiaque avec des auteurs comme Olympiodore ou Plutarque.
"Moi Ptolémaios, épistratège de la Thébaïde, je suis venu et j’ai adoré la très grande déesse Isis"
An 11 de César
"Moi Théomnestos, stratège de Philae, je suis venu et j’ai adoré Isis aux dix mille noms ainsi que tous les Dieux qui sont dans l’Abaton"
An 5 de l’Empereur César Domitien Auguste
Le révérend père Kircher Athanase illustra le texte de Plutarque. Il nous montre une Isis couronnée de blé, portant un sistre, la situle et une robe nocturne frappée d’étoiles et de croissants lunaire.
Géante magnétique, elle marche à la surface de la terre auréolée par la multitude magique de ses noms.
*EGO SUM ISIS….
Dans le Temple d’Isis à Dendera on peut lire:
"Elle est Nekhbet à Hiérapolis, Tjenet à Hermontis, Iounit à Dendera, Isis à Abydos, Heket à Antinoë, Neith à Saïs…………
Maîtresse dans chaque Nome, c’est elle qui est dans toutes les cités, dans tous Nomes avec son fils Horus"
Un texte sans équivoque, toute l’Egypte est le royaume d’Isis
Ses multiples noms sont semés à travers le double royaume comme les membres dispersés d’Osiris. Ils encensent cette terre sainte de leur vibration subtile, la protègent, en font le lieu d’une éternelle Théophanie.
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