La Source des 9 constituants est Héliopolitaine, correspondance entre l’ennéade et les 9 constituants, moment clef de la pensée égyptienne qui se manifesta vers 3000 avant JC apparition de l’écriture .
L’ennéade Héliopolitainne, se composait de :
Rê- le soleil - le feu divin, Shou- l'air - le souffle divin, Tefnout - l'humidité - la semence divine, Geb- la terre, Nout- la voûte céleste, Ousir (Osiris), Aset (Isis), South(Seth)et Nebeth (Nephtys).
La ville était également le siège d'un culte d'Hathor, "Dame du Sycomore", et c'est à Iounou qu'au milieu d'un bois sacré se trouvait le légendaire Perséa sacré sur les fruits duquel Djehouty (Thot) inscrivait les noms de chaque souverain, héritier du trône d'Horus.
Cette pensée Héliopolitaine, est l’axe des 9 constituants. Heliopolis capitale du douzième nome de Basse-Égypte restera pendant trois millénaire la cité sainte de Kemet. Elle Perdra sa prépondérance au profit d’une nouvelle ville Phare : Alexandrie.
Or la plupart des éléments de la Théocratie Pharaonique, sont antérieurs à Héliopolis qui greffera dans sa pensée l’aspect solaire de sa monarchie.
Sa Théologie est la source de nombreux courants mystiques tel que: Le culte d’Aton, la pensée Amonienne, le culte de Sérapis et bien d’autres…
Elle s’exprime par les "Textes des Pyramides" et la Pensée Hermétique qui va la développer pendant 5000 ans. Tout ce qui est Maçonnerie, Rose Croix, tout vient d’Héliopolis ; "aux frères d’Héliopolis" disait Fulcanelli en dédicace, car Il appartenait aux frères d’Héliopolis.
C’est la source de notre pensée Occidentale, Héliopolis cité solaire par excellence, d’où sont issues les pyramides, manifestations de cette pensée solaire. Tous les rituels Héliopolitains tournent d’ailleurs autour du feu, expression des métamorphoses et de la divinité.
Iounou, nommée Héliopolis par les Grecs était la cité du pilier Ioun qui entretenait un rapport étroit avec le feu, les flammes et la lumière.
Iounou était considérée par les égyptiens de toutes les époques comme "le Tertre Primordial", Châ-Ka lieu de la première manifestation du dieu créateur et matérialisée par la pierre Ben Ben au sommet de laquelle trônait un météorite symbolisant le sperme d’Atoum et où se posa le Bénou Phénix . Elle restera pendant plus de trois millénaires la cité Sainte de l’Egypte, où tous les souverains puiseront leur légitimité dans le culte d’Atoum Rê, car depuis la IV dynastie, le roi est fils de Rê.
Le premier prophète d’Iounou était le Grand Our MAOU "Le Grand des Voyants", arborant la peau de panthère et la tresse royale des princes héritiers, même si il n’était pas de sang royal, il était immédiatement adopté par le souverain le jour de son intronisation. Gardien des archives royales, il était chargé d’harmoniser le Haut monde stellaire d’Héliopolis nommé Douat et le Bas, à travers le canal qu’était sa Majesté. Le plus célèbre est Manéthon qui rédigea Aegyptiaca pour les premiers Ptolémés.
L’animal sacré de Iounou était le taureau Noir Mnevis nommé "Ka Our", on le voit sur certains bas reliefs, la tête reliée au pilier Ioun fardé par le roi. Les" Textes des Pyramides" apparus à la Vème dynastie, gravés dans la pierre sont les fixations par écrit de mythes, hymnes, rites funéraires, et incantations magiques issus d’une théologie de type stellaire, probablement antérieurs à l’époque Thinite. Cette pensée fragmentaire, parfaitement codée, laissée à la postérité, ne saute pas aux yeux des profanes ignorants de "l’Art Royal."
C’est une pensée qui fonctionne en mode mélothésique par système de référence logique de correspondances à l’infini……………
Strabon, Di odore de Sicile, Hérodote Platon, Pythagore, etc. auraient séjourné de longues périodes à Héliopolis venant puiser les bases de leurs travaux dans le vieux fond de connaissances accumulées par les prêtres du dieu Rê.
Iounou, nommée Héliopolis par les Grecs était la cité du pilier Ioun qui entretenait un rapport étroit avec le feu, les flammes et la lumière.
Iounou était considérée par les égyptiens de toutes les époques comme "le Tertre Primordial", Châ-Ka lieu de la première manifestation du dieu créateur et matérialisée par la pierre Ben Ben au sommet de laquelle trônait un météorite symbolisant le sperme d’Atoum et où se posa le Bénou Phénix . Elle restera pendant plus de trois millénaires la cité Sainte de l’Egypte, où tous les souverains puiseront leur légitimité dans le culte d’Atoum Rê, car depuis la IV dynastie, le roi est fils de Rê.
Le premier prophète d’Iounou était le Grand Our MAOU "Le Grand des Voyants", arborant la peau de panthère et la tresse royale des princes héritiers, même si il n’était pas de sang royal, il était immédiatement adopté par le souverain le jour de son intronisation. Gardien des archives royales, il était chargé d’harmoniser le Haut monde stellaire d’Héliopolis nommé Douat et le Bas, à travers le canal qu’était sa Majesté. Le plus célèbre est Manéthon qui rédigea Aegyptiaca pour les premiers Ptolémés.
L’animal sacré de Iounou était le taureau Noir Mnevis nommé "Ka Our", on le voit sur certains bas reliefs, la tête reliée au pilier Ioun fardé par le roi. Les" Textes des Pyramides" apparus à la Vème dynastie, gravés dans la pierre sont les fixations par écrit de mythes, hymnes, rites funéraires, et incantations magiques issus d’une théologie de type stellaire, probablement antérieurs à l’époque Thinite. Cette pensée fragmentaire, parfaitement codée, laissée à la postérité, ne saute pas aux yeux des profanes ignorants de "l’Art Royal."
C’est une pensée qui fonctionne en mode mélothésique par système de référence logique de correspondances à l’infini……………
Strabon, Di odore de Sicile, Hérodote Platon, Pythagore, etc. auraient séjourné de longues périodes à Héliopolis venant puiser les bases de leurs travaux dans le vieux fond de connaissances accumulées par les prêtres du dieu Rê.
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