Tant qu’il y a métamorphose, il y a vie pensaient les égyptiens de Kemet.
C’est ainsi qu’ils prenaient un soin infini du corps des défunts pour aider aux transformations de ce dernier. La momie, chrysalide, materia prima était le terrain d’un nouvel envol vers les terres inconnues de la Douat.
Ils avaient 2 mots pour exprimer le corps : Djet et Kat.
le Djet être vivant, précieux, vil, transitoire, avec toutes ses facultés et limitations, ensemble cohérent et transitoire, est le véhicule d’une manifestation vitale, la maison des 9 constituants qu’il maintient liés. A la mort le corps s’ouvre, les 9 se dégagent dans l’univers. La momification sert à récupérer et contrôler cette émanation, caisse de résonance avec l’univers, qui maintient le lien entre la matière et l’esprit, c’est pourquoi il faut maintenir le corps sain, car il est soumis à l’entropie. Dés qu’il y a existence, il y a entropie, rouille, usure, c’est ce qui fait l’objet des métamorphoses. Il existait différentes méthodes de néguentropie pour lutter à travers les rites contre l’entropie ; c’est la fête du Heb Sed. Tous les 30 ans le roi est mis à mort avec la momie de ses ancêtres, on le réveillait trois jours après, on le sacralisait et il était revitalisé. Le rituel était fait pour tout le royaume, il redressait le pilier Djed et l’énergie recirculait dans son corps et dans toute l’Égypte. Les prêtres de Selket-(celle qui fait respirer le gorge) diagnostiquaient les nœuds et envoyaient le malade chez les guérisseurs, les prêtres de Sekmet qui la faisaient recirculer.
Le mot Djet, s’écrit avec le hiéroglyphe du serpent, qui est énergie vibratoire primordiale(chamanique). C’est l’ancêtre !
Dans cette matière considérée comme vile et précieuse on retrouve la notion de Materia Prima de l’alchimie c’est la minière la caverne ou l’on trouve le germe de l’or mais il faudra à un moment passer par la nigredo (la mort). Dans les hiéroglyphes du Khat, il y a aussi le poisson chat, on utilise ce poisson, qui veut dire « qui pu » qui sent mauvais et une pustule de chair en décomposition accompagnant le poisson répugnant. Le signe fondamental est la momie sur le lit, le Khaibit serait l’état intermédiaire, le moyen de passage entre le Djet et le Khat, car il est impossible qu’il y ait une rupture.
Le Corps Khat c’est le corps mort, subtil glorieux astral, véhicule pour un ailleurs.
le Djet être vivant, précieux, vil, transitoire, avec toutes ses facultés et limitations, ensemble cohérent et transitoire, est le véhicule d’une manifestation vitale, la maison des 9 constituants qu’il maintient liés. A la mort le corps s’ouvre, les 9 se dégagent dans l’univers. La momification sert à récupérer et contrôler cette émanation, caisse de résonance avec l’univers, qui maintient le lien entre la matière et l’esprit, c’est pourquoi il faut maintenir le corps sain, car il est soumis à l’entropie. Dés qu’il y a existence, il y a entropie, rouille, usure, c’est ce qui fait l’objet des métamorphoses. Il existait différentes méthodes de néguentropie pour lutter à travers les rites contre l’entropie ; c’est la fête du Heb Sed. Tous les 30 ans le roi est mis à mort avec la momie de ses ancêtres, on le réveillait trois jours après, on le sacralisait et il était revitalisé. Le rituel était fait pour tout le royaume, il redressait le pilier Djed et l’énergie recirculait dans son corps et dans toute l’Égypte. Les prêtres de Selket-(celle qui fait respirer le gorge) diagnostiquaient les nœuds et envoyaient le malade chez les guérisseurs, les prêtres de Sekmet qui la faisaient recirculer.
Le mot Djet, s’écrit avec le hiéroglyphe du serpent, qui est énergie vibratoire primordiale(chamanique). C’est l’ancêtre !
Dans cette matière considérée comme vile et précieuse on retrouve la notion de Materia Prima de l’alchimie c’est la minière la caverne ou l’on trouve le germe de l’or mais il faudra à un moment passer par la nigredo (la mort). Dans les hiéroglyphes du Khat, il y a aussi le poisson chat, on utilise ce poisson, qui veut dire « qui pu » qui sent mauvais et une pustule de chair en décomposition accompagnant le poisson répugnant. Le signe fondamental est la momie sur le lit, le Khaibit serait l’état intermédiaire, le moyen de passage entre le Djet et le Khat, car il est impossible qu’il y ait une rupture.
Le Corps Khat c’est le corps mort, subtil glorieux astral, véhicule pour un ailleurs.
Dissoudre et coaguler, c’est la base de tous les rites initiatiques. Que nous retrouvons ici.
Le corps Djet est dissout par la mort et le rite consiste à sortir la Materia Prima du chaos en séparant Djet et Khat pour réunir par le biais des Noces Chimiques et aboutir au fruit de cette union qui est l’Enfant des Philosophes.
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