Depuis son apparition, l’homme s’interroge sur les fondements de son existence : pourquoi vivre et mourir ?
Des sciences, des religions apparaissent pour donner des bribes de réponses souvent insatisfaisantes, alors que des documents mystérieux se dévoilant sous forme de papyrus, tablettes, parchemins, révèlent l’existence d’une autre voix qui parle de matérialiser l’esprit et spiritualiser la matière. C’est l’Alchimie, celle qui utilise cette langue mystérieuse nommée "langue des oiseaux", codée, réservée à certain initiés, car on l’approche par degrés à petit pas…
La science de Thot n’aime pas le "vulgaire", elle nourrit l’esprit du sel d’un savoir devenu dans notre monde plus étranger que jamais ; dans lequel matière, éléments, métaux et planètes rentrent en jeux dans un système mélothésique, hermétique, secret et sacré destiné aux "Enfants de l’Art".
L’alchimie n’est pas seulement une science, mais la science dans son universalité, elle se compose de deux parties, la spéculation et la pratique, la philosophie et l’expérience. Si, il est possible de cultiver la première en dehors de la seconde, celle-ci au contraire, ne s’aurait s’exercer en l’absence de celle là. Elle exige la double discipline du travail et de la sollicitation semblablement constants, qu’elle soit uniquement livresque et méditative ou qu’elle s’étende aux manipulations. Elle parle aux yeux de l’esprit et à l’intelligence du cœur. Cultivée dans les Temples de l’ancienne Egypte ce qui a permis à Fulcanelli de dédicacer un livre "Aux Frères d’Héliopolis", elle y était pratiquée sous le nom d’Art Royal ou bien Sacerdotal, elle passa chez les grecs d’Alexandrie, d’où les arabes au début du millénaire, la transportèrent vers l’Occident Chrétien. Dans le même temps, les Croisés et soldats du Temple rapportaient dans leurs bagages, les écrits en langue grecque ou arabe qui dispensaient la science génératrice des pouvoirs des pharaons.
La science de Thot n’aime pas le "vulgaire", elle nourrit l’esprit du sel d’un savoir devenu dans notre monde plus étranger que jamais ; dans lequel matière, éléments, métaux et planètes rentrent en jeux dans un système mélothésique, hermétique, secret et sacré destiné aux "Enfants de l’Art".
L’alchimie n’est pas seulement une science, mais la science dans son universalité, elle se compose de deux parties, la spéculation et la pratique, la philosophie et l’expérience. Si, il est possible de cultiver la première en dehors de la seconde, celle-ci au contraire, ne s’aurait s’exercer en l’absence de celle là. Elle exige la double discipline du travail et de la sollicitation semblablement constants, qu’elle soit uniquement livresque et méditative ou qu’elle s’étende aux manipulations. Elle parle aux yeux de l’esprit et à l’intelligence du cœur. Cultivée dans les Temples de l’ancienne Egypte ce qui a permis à Fulcanelli de dédicacer un livre "Aux Frères d’Héliopolis", elle y était pratiquée sous le nom d’Art Royal ou bien Sacerdotal, elle passa chez les grecs d’Alexandrie, d’où les arabes au début du millénaire, la transportèrent vers l’Occident Chrétien. Dans le même temps, les Croisés et soldats du Temple rapportaient dans leurs bagages, les écrits en langue grecque ou arabe qui dispensaient la science génératrice des pouvoirs des pharaons.
Elle est spirituellement la volonté de progression constante et sa quête répond à un état de conscience, découlant pour l’homme du phénomène d’harmonie qui peut s’établir entre le rythme de son âme et celui de l’âme universelle. L’alchimiste s’applique à la réalisation du Grand Œuvre qui se développe sur les plans spirituel et physique et a pour but la médecine Universelle ou Pierre Philosophale. Appuyées par la discipline d’une très rigoureuse Philosophie, les opérations du Grand Œuvre se déroulent dans le laboratoire (lieu de travail labor et de prière orare), où elles peuvent apparaître semblables à la chimie. Or quelque chose les différencie, qui peut être qualifié de magie, et repose scientifiquement sur le respect de conditions extérieures et cosmiques. L’Athanor qui étymologiquement signifie "privé de mort" est le fourneau secret des alchimistes, cœur de la création, il peut être figuré par le serpent ou la coquille St Jacques, car ici tout est symbole et ce que l’on voit n’est jamais ce qui est ; il faut donc aller le chercher au fond de soi, ne jamais l’isoler d’un contexte, et avant tout il faut accepter la solitude. Cet Art également nommé Art de Musique, haut en couleur, se pratique à travers deux voies nommées Sèche et Humide qui requièrent sagesse, rigueur, humilité, perspicacité, constance et sens du secret. Le Secret se dévoile d’ailleurs dans Mère Nature et la Materia Prima, c’est nous, "ce rien où git tout", dans lequel il faut harmoniser les régimes de notre feu intérieur.
L’Art consiste à volatiliser notre fixe et fixer notre volatil dans un univers où rien n’est figé pour les Enfants d’hier qui sont sur la route de demain.
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