Le symbole une image inerte ?
Non un outil pour agir sur le monde diraient certains !
Quel mot inconfortable que celui de symbole !
Chaque culture ayant tendance à le placer dans le cadre de ses propres références.
Il fait partie de la panoplie des spiritualités légères qui à force de contre emploi ou d’usages approximatifs ont vidé certains vocables de leur moelle.
Déformé par nos études qui se contentent de susciter l’intellect, nous avons besoin de l’expliquer de manière rationnelle. Or nous n’investissons jamais un symbole, nous nous contentons d’en faire le tour en essayant de le disséquer en bon légistes, gonflant la voile de nos égos en fixant nos connaissances.
Le symbole traduit en mode fonctionnel un enseignement ésotérique qui par définition n’est pas fixe, qui reste toujours à définir, à redéfinir et que chacun devra mettre en scène et pétrir de sa chair. Le symbole ne signifie rien, il évoque, porteur d’un sens qui dépasse les limites de l’entendement humain, la limite de sa forme…
Voilé obscur, il tire sa quintessence des énigmes qu’il engendre et propose à notre perspicacité. Bien intégré le symbole devient une puissance créatrice, une voie pour entrer en contact intime avec l’essentiel qui est en nous. Le symbole est étroitement lié à un mode de pensée analogique qui utilise la voie cardiaque, il ne révèle rien, c’est une clef qui ouvre la porte des lacis inextricables qui sillonnent nos routes intimes, et tracent la réalité mystérieuse que nous nourrissons avec nos propres substances. Schwaller de Lubicz disait que définir un symbole c’est le tuer. Jung pensait que les symboles étaient des produits naturels et spontanés et au fond qui peut se targuer d’avoir inventé les symboles ?
Le symbole n’est pas un dogme, il ouvre les portes d’une perception sans limites basée sur un questionnement inlassable ce qui en fait le parfait outil du cherchant .
Non un outil pour agir sur le monde diraient certains !
Quel mot inconfortable que celui de symbole !
Chaque culture ayant tendance à le placer dans le cadre de ses propres références.
Il fait partie de la panoplie des spiritualités légères qui à force de contre emploi ou d’usages approximatifs ont vidé certains vocables de leur moelle.
Déformé par nos études qui se contentent de susciter l’intellect, nous avons besoin de l’expliquer de manière rationnelle. Or nous n’investissons jamais un symbole, nous nous contentons d’en faire le tour en essayant de le disséquer en bon légistes, gonflant la voile de nos égos en fixant nos connaissances.
Le symbole traduit en mode fonctionnel un enseignement ésotérique qui par définition n’est pas fixe, qui reste toujours à définir, à redéfinir et que chacun devra mettre en scène et pétrir de sa chair. Le symbole ne signifie rien, il évoque, porteur d’un sens qui dépasse les limites de l’entendement humain, la limite de sa forme…
Voilé obscur, il tire sa quintessence des énigmes qu’il engendre et propose à notre perspicacité. Bien intégré le symbole devient une puissance créatrice, une voie pour entrer en contact intime avec l’essentiel qui est en nous. Le symbole est étroitement lié à un mode de pensée analogique qui utilise la voie cardiaque, il ne révèle rien, c’est une clef qui ouvre la porte des lacis inextricables qui sillonnent nos routes intimes, et tracent la réalité mystérieuse que nous nourrissons avec nos propres substances. Schwaller de Lubicz disait que définir un symbole c’est le tuer. Jung pensait que les symboles étaient des produits naturels et spontanés et au fond qui peut se targuer d’avoir inventé les symboles ?
Le symbole n’est pas un dogme, il ouvre les portes d’une perception sans limites basée sur un questionnement inlassable ce qui en fait le parfait outil du cherchant .
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