Il est un monde où chaque chose possède un sens ; Où tous les éléments y sont relié au sein d’une structure harmonieuse ; Où chacun travaille avec les autres ; Où la Liberté n’est pas un idéal, mais un fait. C’est le monde des symboles.
L’étymologie du mot est riche de sens. Du grec " sumbolon " signifiant signe, c'est-à-dire la représentation concrète d’une idée abstraite, le sens s’étend à un signe de reconnaissance. Concrètement, il s’agissait d’un objet coupé en deux permettant à deux personnes (marchands, amants, amis, pèlerins…) de se reconnaître après séparation.
Pour pouvoir être interprété, le symbole fait appel à une capacité de plus en plus atrophiée par nos sociétés " modernes " : la liberté de l’imagination. Car qu’il se fasse objet, représentation géométrique, animal ou chiffre, le sens d’un symbole n’est jamais unique. Si la faux est l’attribut de la Mort, elle est aussi autre chose. Ainsi l’interprétation du symbole ne peut se faire dans une pensée rationnelle mécaniste (j’oserai dire cartésienne).
Le symbole est un signe, une porte vers l’infini. En dehors du temps et de l’espace, il est le vecteur privilégié de la parole sacrée. Tous les peuples à la spiritualité évoluée ont utilisé un langage symbolique (Egyptien, Chinois, Hébreux…). Il permet à l’esprit de s’élever et d’entrevoir les plans d’une sagesse infinie au-delà de la matérialité du monde.
Le symbole lui-même se fait symbole. Celui de l’homme dualisé (échos du mythe biblique d’Adam et Ève, présent dans toutes les mythologies du monde) à la recherche de son complémentaire afin de réaliser de nouveau son unité perdue.
En tant que société initiatique traditionnelle, le langage que nous utilisons est le reflet de ce que nous sommes. Nous utilisons avant tout les symboles maçonniques. Ils nous permettent dans une fraternité bien vivante de découvrir en nous même nos forces et nos faiblesses et de participer à la mesure de nos moyens, en homme Libre, à l’harmonie universelle.
Nous utilisons également les symboles de la vieille Egypte. Ils nous permettent de comprendre peu à peu ce pays fascinant d’Amour, de paix et d’harmonie. La puissance de ces symboles est telle que pour les appréhender il faut penser autrement, en dehors de la pensée occidentale rationnelle. Leur compréhension nécessite une vivante ouverture d’esprit, au sens propre du terme.
Si le symbole est une porte ouverte sur l’esprit, voici quelques mots clés pouvant y être associé : Sagesse, Force, Beauté.
L’étymologie du mot est riche de sens. Du grec " sumbolon " signifiant signe, c'est-à-dire la représentation concrète d’une idée abstraite, le sens s’étend à un signe de reconnaissance. Concrètement, il s’agissait d’un objet coupé en deux permettant à deux personnes (marchands, amants, amis, pèlerins…) de se reconnaître après séparation.
Pour pouvoir être interprété, le symbole fait appel à une capacité de plus en plus atrophiée par nos sociétés " modernes " : la liberté de l’imagination. Car qu’il se fasse objet, représentation géométrique, animal ou chiffre, le sens d’un symbole n’est jamais unique. Si la faux est l’attribut de la Mort, elle est aussi autre chose. Ainsi l’interprétation du symbole ne peut se faire dans une pensée rationnelle mécaniste (j’oserai dire cartésienne).
Le symbole est un signe, une porte vers l’infini. En dehors du temps et de l’espace, il est le vecteur privilégié de la parole sacrée. Tous les peuples à la spiritualité évoluée ont utilisé un langage symbolique (Egyptien, Chinois, Hébreux…). Il permet à l’esprit de s’élever et d’entrevoir les plans d’une sagesse infinie au-delà de la matérialité du monde.
Le symbole lui-même se fait symbole. Celui de l’homme dualisé (échos du mythe biblique d’Adam et Ève, présent dans toutes les mythologies du monde) à la recherche de son complémentaire afin de réaliser de nouveau son unité perdue.
En tant que société initiatique traditionnelle, le langage que nous utilisons est le reflet de ce que nous sommes. Nous utilisons avant tout les symboles maçonniques. Ils nous permettent dans une fraternité bien vivante de découvrir en nous même nos forces et nos faiblesses et de participer à la mesure de nos moyens, en homme Libre, à l’harmonie universelle.
Nous utilisons également les symboles de la vieille Egypte. Ils nous permettent de comprendre peu à peu ce pays fascinant d’Amour, de paix et d’harmonie. La puissance de ces symboles est telle que pour les appréhender il faut penser autrement, en dehors de la pensée occidentale rationnelle. Leur compréhension nécessite une vivante ouverture d’esprit, au sens propre du terme.
Si le symbole est une porte ouverte sur l’esprit, voici quelques mots clés pouvant y être associé : Sagesse, Force, Beauté.
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